La plage
vide
De la marée
basse
Invite
l’artiste.
Un cercle
naît de son orteil,
Auquel se
joignent un nez,
Deux yeux,
une bouche,
Une
fossette, deux oreilles.
Une raie
sépare les cheveux.
L’artiste
contemple son vaste canevas
Que va-t-il
ajouter ?
Lentement
il se détourne
Et reprend
son chemin.
L’œuvre est
finie
L’artiste
est parti.
La mer
anxieuse s’extasie.
Une vague
étourdie efface à jamais
L’œuvre
inédite.
Il en va
ainsi de nos projets
A jamais
effacés dans l’éternité.
20/1/12
©L. Bailliet
What to say?! Shadows and dust Maximus, shadows and dust....
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