Pages

Wednesday, August 8, 2012

Pine Forest II


Tonights dark sunset reminded me of the pine forest
Haunting beauty only revealed at sundown,
And calling to us on our daily walks.
The deep dark green shadowed tracks
Bordered by numerous mushrooms
Shooting from their bed of pine needles
Silently watching our wandering progress
As many unseen sprites resenting
Our presence amongst them.
Within a few instants the place
Cooled down and became unfriendly.
It was the magic hour when no one
With any sense would loiter there.
The birds had settled down for the night
And silence reigned majestically
Only broken by our passage, us the intruders.
The suddenly indistinct track seemed to add meanders
To its path and the air had become rarefied
Solitude prevailed pressing on us from all sides
The quietness of the bush was unsettling.
Disquiet hurried us back to the main track
Where suddenly the view of a clear sky
And the sun on the horizon dissolved every threat.

L. Bailliet©
08/08/2012

Le coucher de soleil sombre de ce soir m'a rappelé ceux de la pinède
Dont la beauté envoûtante ne se révèle qu’au coucher du soleil,
Et qui nous appelait durant nos promenades quotidiennes.
Les profondes pistes ombragées verdâtres
Bordées de nombreux champignons
Soudain vus pointant de leur lit d'aiguilles de pin
Regardant silencieusement notre errance
Comme de nombreux esprits invisibles sentant
Notre présence parmi eux.
En quelques instants la place
Se refroidissait et nous devenait hostile.
C'était l'heure magique où quiconque
Possédant une once de bon sens aurait traîner là.
Les oiseaux étaient installés pour la nuit
Et le silence régnait majestueusement
Seulement brisé par notre passage, nous les intrus.
La piste tout d'un coup indistincte semblait ajouter des méandres
A son parcours et l'air se raréfiait.
La solitude prévalait tout autour de ​​nous pesante.
Le calme de la brousse était troublant.
L'inquiétude nous commandait  de revenir sur la piste principale
Où tout à coup la vue d'un ciel clair
Et le soleil à l'horizon dissolvaient  toutes les menaces.
L. Bailliet©
08/08/2012

No comments:

Post a Comment