A rolling
bank of clouds
Filling
the valley,
Thus
obliterating the town
Underneath
at sun rise,
Leaving
me alone
Witness
of the beauty
Of the
world before mankind's
Work of
destruction.
In this
pristine environment
Every
dawn was a renewed
Wonder to
be watched
Telling
me time and time again
Of
innumerable ages existing
Without
trace of our destructive imprint
Insisting
that we are only a glitch
In the
fabric of time soon to be repaired.
But here
the landscape of dawn
On the
plain
Leaves me
cold
Not
speaking to my senses
Of time
past or to come
Just
glaring back at me.
L. Bailliet ©
27/12/2012
Une couverture de
nuages
Remplissant la vallée,
Éliminant ainsi la
ville
En dessous au lever
du soleil.
Me laissant seule
Témoin de la beauté
Du monde avant l'humanité
Et ses travaux de
destruction.
Dans cet
environnement vierge,
Chaque jour recréé,
Chaque aube est une
nouvelle
Merveille à veiller,
Me racontant maintes
et maintes fois
Des âges innombrables
existants
Sans trace de notre
empreinte destructrice
Insistant sur le fait
que nous sommes seulement le problème
Dans le tissu du
temps qui sera éventuellement réparé
Mais ici, le paysage
de l'aube sur la plaine
Me laisse froide
Ne parle pas à mes
sens
Du temps passé ou à
venir
Se contentant de m’éblouir.
L. Bailliet ©
27/12/2012
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